Il est sept heures et demie. Sur le quai du métro l’afflux des voyageurs est grandissant. Si elle avait su, elle aurait attendu le suivant. Ses gros seins commencent à se faire écraser. Elle est projetée à l’intérieur du wagon tant les gens sont pressés d’aller travailler.

Ils s’installent tous rapidement, il ne reste plus une seule place assise. Elle s’agrippe tant bien que mal à une barre et une marée humaine vient se déverser tout autour d’elle. En face d’un homme, ils sont comme deux rescapés tentant de garder la tête hors de l’eau. Ils se regardent dans les yeux. Ses gros seins sont écrasés contre sa main placée sur la barre. Il les touche, bouge ses doigts…